L’étreinte de vie entre attachement et désespoir

20 mars 2018

Mon âme est en proie à des tempêtes, elles ravagent mes terres, cries comme un tonnerre conscientisé dans le ciel de larmes et saignes dans les mers, elles sont la manifestation d’une alchimie en manque d’alchimie et d’alchimiste, de liens perdu et brisés, comme si l’ancre du monde avait céder, ces tempêtes elles sont là, la marque d’un changement aussi inévitable que destructeur et ravageur, elles sont ici, mais aussi dedans, si forte qu’elles arrive … Continuer la lecture de « L’étreinte de vie entre attachement et désespoir »

Mon âme est en proie à des tempêtes, elles ravagent mes terres, cries comme un tonnerre conscientisé dans le ciel de larmes et saignes dans les mers, elles sont la manifestation d’une alchimie en manque d’alchimie et d’alchimiste, de liens perdu et brisés, comme si l’ancre du monde avait céder, ces tempêtes elles sont là, la marque d’un changement aussi inévitable que destructeur et ravageur, elles sont ici, mais aussi dedans, si forte qu’elles arrive jusqu’à briser mes remparts, sortant au dehors… Elles sont si forte qu’elles brise tout, je les étouffes, menaçant le vivant et en même temps le tuant petit à petit, malgré ça elle m’offre le pouvoir de l’instant présent déchiquetant et sortant de la trame du temps, cette tempête n’a pas de couleurs, elle rend la lumière terne et sans saveur en temps normal, quant elle est loin des rivages, puis elle finit toujours pas arriver jusqu’à mes terres et elle se déchaîne, arrachant, déchiquetant les peux qu’il y a… Même le sable, l’eau, la terre, l’air sont sans dessus dessous, mes anciennes terres sombres au fond des flots… C’est un paysage de désolation ne laissant aucune chance à ce qui ce trouve dedans malgré ça… À l’instar du déchaînement des océans plus profond dans les terre, dans des terres rouges comme le fer chaud, où brûle un feu sommeillant, atteignant les cieux et brûlant comme une jeune étoile, c’est une rage, pas de vivre, mais d’une facette de la vie, un immense brasier alimenter par la haine d’un monde qui se meurt, c’est aimer sans vouloir laisser mourir, mais c’est aussi les chaînes de l’impuissance du commun des mortels, mon âme ne respire plus que d’un brasier qui grandi de jour en jour, principalement alimenté par ceux qui pense pouvoir penser et agir à notre place, alimenter par l’injustice, par les peurs des autres et par la haine des entraves que certain impose et tente d’imposer  à moi et à d’autres, elle est d’une façon la flamme de la liberté, mais aussi le brasier qui consume le calme et la sérénité intérieure. Un appel à réagir, un appel à sortir en dehors et à crier de toutes ses forces, à expulser son âme haut dehors pour dire… Tellement de choses…

Sans le vouloir, sans le savoir, ils forgent une volonté, une rage… D’où vient-elle ?

Rivière d’émotion – L’esprit

29 novembre 2017

Je n’y arrive plus, je deviens fou, je supporte très mal cette pression, je refuse que l’on fasse ces choix à ma place, ça serait signer ma perte, j’en deviendrais définitivement fou et pas dans le bon sens du terme et ça serait déclencher une tempête ! Ça serait un viol intellectuel, si je veux mourir alors laisser moi mourir, si je veux vivre alors laisser moi vivre, je ne suis l’esclave de personne, le … Continuer la lecture de « Rivière d’émotion – L’esprit »

Je n’y arrive plus, je deviens fou, je supporte très mal cette pression, je refuse que l’on fasse ces choix à ma place, ça serait signer ma perte, j’en deviendrais définitivement fou et pas dans le bon sens du terme et ça serait déclencher une tempête ! Ça serait un viol intellectuel, si je veux mourir alors laisser moi mourir, si je veux vivre alors laisser moi vivre, je ne suis l’esclave de personne, le premier qui essaiera de me mettre des chaînes je pourrais le tuer de mes mains tellement j’étouffe, ce monde me rend malade, j’en crèverais.

J’ai besoin de prendre du recul, je veux comprendre notre monde par moi même, votre soupe étouffez-vous avec ! Je le sais, je me suis perdu, pourtant je n’arrête pas de tourner la tête dans tous les sens à la recherche d’un chemin, d’un panneau d’explorateur dans de vertes prairies, mais rien, c’est comme une journée continue, comme un artiste sans émotion.

J’essaie de retrouver le cycle naturel des choses, de revenir à l’essentiel, j’essaie de retrouver le vrai sens des choses, mais je n’y arrive pas, on me le refuse, on me le vole, je suis le résultat de cette société et je la renie, cette privation est une torture qui n’a pas de nom, j’essaie d’apprendre à m’en défaire, mais c’est d’une difficulté incroyable, chaque jour qui passe, ça empire, je ne veux plus vivre à genoux, ici il n’y a pas de guide, je me sens pris l’étau entre la peur de ceux qui m’aime et de l’inconnu auquel je fais face, alors je pense que la meilleure solution serait d’allés voir ailleurs…

Je suis à la dérive, comme une feuille dans le courant d’une rivière en crue, c’est une rivière faite d’émotions, de rêve et de peurs, il est elles sont là, de plus en plu forte, de plus en plus incontrôlable, cette rivière elle met la vie en jeu à chaque seconde, c’est une rivière qui tend à prendre la forme d’un grand huit, je sais à peine dire ce que je veux être, je sais dire ce qui me dégoûte dans ce monde, je ne sais plus vers quoi je tends, j’ai l’impression d’être pris dans des rapides, je tiens mon avenir, mon passé dans la pomme ma main, il est comme une ficelle qui me glisse entre les doigts et qui virevolte au grès des courants, je n’arrive pas à la saisir, parfois j’en suis si proche que je la sens et l’instant d’après elle s’éloigne si loin…

Je veux réapprendre à Vire, comme un Être, pas comme un pion, un mouton ou peu importe comment vous l’appelez, ceci est mon cri !

Récit d’un Dépressif 6 – L’antre monde

24 novembre 2017

Mon monde Mon monde, celui que je cherche, c’est une île, une île oubliée des cartographes, mais connue des étoiles, elle est la maison des rêveurs, c’est comme si elle s’était perdue dans les flots, c’est un endroit simple, petit et fragile, vous en feriez le tour en quelques minutes… Mais un jour ces minutes commenceront à vous paraître éternelle, car cette île est vivante, vous ne le remarquerez pas au début, à cause du … Continuer la lecture de « Récit d’un Dépressif 6 – L’antre monde »

Mon monde

Mon monde, celui que je cherche, c’est une île, une île oubliée des cartographes, mais connue des étoiles, elle est la maison des rêveurs, c’est comme si elle s’était perdue dans les flots, c’est un endroit simple, petit et fragile, vous en feriez le tour en quelques minutes… Mais un jour ces minutes commenceront à vous paraître éternelle, car cette île est vivante, vous ne le remarquerez pas au début, à cause du bruit de votre esprit, alors arrêterez-vous simplement un instant et vous commencerez à y entendre son souffle dans ce vent qui s’agite dans ses feuilles, vous sentirais son pouls dans le tumulte des vagues sur le sable, les battements de son cœur dans de rares tremblements fugaces, elle parlera avant votre arrivée et après votre départ, à vrai dire elle et moi on se comprend rarement, bien que parfois cela soit pourtant évidant… Parfois elle tombe malade, elle tousse, elle crache, du haut de sa montagne, il lui arrive même de ce mètre en colère le temps d’une tempête, puis le calme viens, comme une page qui se tourne, pendant longtemps elle sera plus belle chaque jour que le précédent… Elle est le témoin du court du temps, elle incarne la seule permanence possible… Pour vous plaire ? Je ne sais pas, qui sait… Il lui arrive même de laisser couler quelques larmes, elle est comme la toile, indispensable au peintre, elle à soif de vie et en même temps elle n’a jamais eu réellement besoin de vous, mal-grès ça après votre passage, vous lui manquerez, vos traces de pas, votre feu au clair de lune et vos constructions seront ses souvenirs, bien entendu elle n’est pas seule comme toi elle a des parents, peut être eu aussi attende-t-ils quelqu’un, ils sont bien loin maintenant… Ils existent, quelque part… Si tu regardes bien autour de toi peut-être un jour tu les distingueras… Ils sont un message, une invitation… À quoi ? À voir au-delà. Ici sur cette île il y a eu quelqu’un, comment je le sais ? Il a laissé des traces çà et là… Comme toi elle vit avec le temps, je ne sais pas quand tu y arriveras, mais il est possible qu’elle y soit alors plus grande ou plus petite… Au début tu t’y sentiras seul, tu lui tourneras le dos et puis c’est vrai, après ce n’est qu’une île au milieu de l’océan non ?… Mais regarde bien, entend et ressent, pose-toi sur le sable et peut être tu auras la chance d’y voir ce que d’habitude tu ne perçois pas, avec elle tu devras réapprendre à vivre comme aux premiers jours de ta vie puis un jour elle t’invitera à partir… Pourquoi, pour où ? Je ne sais pas… D’ici où d’ailleurs il y a message caché sur cette île, il ne t’est pas spécialement destiné à vrai dire, il est comme une bouteille à la mer, porter par les courants. Cette île est un appel, les premiers jours, vous en ferez le tour encore et encore, on ne sait jamais, qui sait ce que cache l’horizon et un soir au crépuscule de la nuit dans son sommeil, le moment venu tu te présenteras à elle, tu lui parleras, pour la première fois tu lui feras face… Elle vous invitera autre-part, allongée dans le sable ou dans votre hamac à l’abri sous un arbre, vous y verrez autre chose, un autre appel, l’appel de l’éternel, quelque part loin, très loin, il a d’autres îles certaines plus grandes, d’autres plus petites, mais bel et bien différentes… Ici pour sur vous êtes seul, pourtant la nuit, tu y verras des lueurs, comme si quelqu’un allumer une torche au loin, il y en a tellement… Puis un jour tu comprendras, comme une évidence, tu es là, vous êtes là, perdu le jour avec votre conscience et la nuit avec l’éternité, une mélodie, il est une proposition, vous y sentirez la trame du temps, marque du temps qui passe, elle ne sera pas éternelle, un jour elle disparaîtra, un jour tu disparaîtras… Pourtant vos existences seront à jamais liés…

Aerial view of an Island, Landscape, Samoa Islands. ocean, island, trees, © CI/ photo by Haroldo Castro

Perception éclectique – L’esprit

31 octobre 2017

Bonjour, ce paragraphe est le dernier et le premier, il est une vision de l’esprit, une création, vers où ? Une marche, un palier, il-elle est l’étendu, l’entré en matière et en-dehors de la matière, au delà de la perception de la vision moderne, dogmatique et contemporaine, une marche vers le néant ? Non, ni mort ni vivant, un nouvel état, un état sans nom, du moins à ma perception, combine la vie et la … Continuer la lecture de « Perception éclectique – L’esprit »

Bonjour, ce paragraphe est le dernier et le premier, il est une vision de l’esprit, une création, vers où ? Une marche, un palier, il-elle est l’étendu, l’entré en matière et en-dehors de la matière, au delà de la perception de la vision moderne, dogmatique et contemporaine, une marche vers le néant ? Non, ni mort ni vivant, un nouvel état, un état sans nom, du moins à ma perception, combine la vie et la mort. La vie, les sens, ton interprétation du réel, ta création, ton oeuvre et en même temps imagine la mort, pas comme un point final, comme une page qui se tourne, un bilan, puis des choix, une sorte de bac à sable de la vie, que veux tu construire ? Où veux tu le construire et avec qui ? C’est une transition, une nouvelle expérience pour l’instant une porte avec une empreinte, ton empreinte, celle de ta connaissance, symbiose de ton passé du présent et du futur, symbole de ton potentiel, mais aussi de ton effectif, en somme la Vie. Ce n’est peut être que ma perception, une forme d’hypothèse, un exemple, sans cesse changeant. Comme une porte, en réalité, cette porte, n’existe pas, mais tu es là donc elle existe, c’est ta vie, un terrain, le champ de la connaissance et la perception, perturber par le souffle, le vent ? Non. D’où viens t-il ? De partout et nulle part, il est le sable de ton château éphémère, mais aussi éternel, puisque tu es, tu étais et tu sera là, sans cesse changeant, sans cesse à la recherche de réponse, une quête ?

Récit d’un Dépressif 5 – Le sol 2

13 octobre 2017

LE monde actuel Plus profond dans le sol il y a les plaques tectoniques, les grand force de la nature, pour moi le plus proche dans notre schéma société actuelle ce à quoi on pourrait les comparés, ça serait plusieurs plaques, une politique, une géopolitique, une économique et une pour la justice, pour moi ces « plaques » la sont comme le décor d’un théâtre, ils servent et ont le rôle de support aux acteurs, ils sont … Continuer la lecture de « Récit d’un Dépressif 5 – Le sol 2 »

LE monde actuel

Plus profond dans le sol il y a les plaques tectoniques, les grand force de la nature, pour moi le plus proche dans notre schéma société actuelle ce à quoi on pourrait les comparés, ça serait plusieurs plaques, une politique, une géopolitique, une économique et une pour la justice, pour moi ces « plaques » la sont comme le décor d’un théâtre, ils servent et ont le rôle de support aux acteurs, ils sont innombrables et les histoires qu’ils racontent aussi… Pour certain c’est une mascarade, d’autres ne réalise même plus qu’il joue, d’autres encore, plus rare, y joue le rôle d’une vie… Je ne dis pas que c’est un grand n’importe quoi, je dis simplement que certain joue, d’autre travaille, d’autre utilise, il y a une infinité de rôle c’est une pièce de théâtre, bien que la plupart du temps les vrais enjeux ce déroule en coulisse, loin des yeux et des oreilles témoin de cette situation, il y a les événements majeur entre la catalogne et l’Espagne pour la politique, les événements entre l’Ukraine, la Russie et l’EU/OTAN/US pour la géopolitique, les événements Grec pour l’économie et pour la justice, je n’ai pas d’événement mondial en tête, mais il n’en manque pas au plan national… Pour moi tous ces événements sont comme des tremblement de terre, plus il sont régulier plus il témoigne de changement majeur dans la marche du monde, à vrai dire je ne saurais pas dire dans quel sens va cette marche, c’est très difficile à dire, le flot de données est tellement important qu’être à jour sur seulement un de ces sujets est très difficile, alors l’être sur tous, pour moi à l’heure actuelle c’est très difficile si ont est pas au centre de la bataille, enfin pour donner une idée c’est comme essayer de prévoir le climat sur Jupiter, on sais qu’il y a un gigantesque anticyclone, cette grosse tache rouge vous savez ? Mais sans beaucoup plus d’information… Enfin pour être honnête je sens qu’il me manque des briques dans ce mur, c’est une construction en chantier, elle évolue et ce transforme.

En bref, comment construire sur un sol instable, comment solidifier ce sol, avec quelles matières… Tant de question m’habite, tant de question sans réponse, pour l’instant…

Récit d’un Dépressif 4 – Le sol

29 septembre 2017

Salut, aujourd’hui on va abordé deux thèmes, l’un faisant le lien avec l’article précédant l’autre est un fragments pour les prochains. Dans l’article précédant je parlais du néant et de la chute, la chute, ça a était la perte de mes repères, c’est comme un sol qui se dérobe sous vos pieds, ce sol c’est les fondations de votre vie, vos souvenirs, votre futur, votre présent, il y a le sol juste sous vos pieds, … Continuer la lecture de « Récit d’un Dépressif 4 – Le sol »

Salut, aujourd’hui on va abordé deux thèmes, l’un faisant le lien avec l’article précédant l’autre est un fragments pour les prochains.

Dans l’article précédant je parlais du néant et de la chute, la chute, ça a était la perte de mes repères, c’est comme un sol qui se dérobe sous vos pieds, ce sol c’est les fondations de votre vie, vos souvenirs, votre futur, votre présent, il y a le sol juste sous vos pieds, pour moi c’était la famille, le contact direct de tous les jours, quasiment présent à chaque instant, ça ça n’a pas trop changé malheureusement, il est toujours la proche de la surface palpable, mais il recule petit à petit, l’ancien sol à disparu, il a fait place a des sables mouvants, dont il faut réussir à s’extraire pour avancé, ne vous inquiétez pas ils ne sont pas mortel, enfin s-il le sont, mais pas définitivement, je pense que la mort telle que nous la connaissons n’existe pas, je ne pense pas que ce soit un point final, enfin c’est complexe je l’aborderais dans un article spécial, mais pas ici, restons dans le vivant tant que nous le pouvons, c’est bien mieux je vous l’assure…

La métaphore du sol c’est une métaphore peu claire changeons en, prenons à la place la sangsue, imaginé s’en une qui ne pompe pas le sang, mais les bonnes émotions, imagine que ton âme ne puisse plus ce nourrir de vie, c’est le sang qui se glace, la boule au ventre en permanence, la faim qui disparaît, c’est difficile de l’imaginer si on le vie pas, difficile d’y mettre des mots dessus, comme je l’ai déjà dit c’est mourir en restant vivant.

Reprenons la métaphore du sol, légèrement sous le sol il y a (pour moi) le travail, enfin dans mon cas c’était une motivation financière, aucun travail personnel, aucune avancée, juste une source d’argent… Certain arrive à vivre seulement d’un travail, en fait la plupart des gens ne vivent pas avec ils sous-vive avec, j’ai vécu ça, j’ai côtoyer des personnes qui à plus de 40 ans ne supportais plus leur activité, leur emploi, mais ils continuent, en fait sans s’en rendre compte ils deviennent ce qu’il déteste le plus, il a une expression particulière juste, mais aussi extrême, extrême dans le fait qu’elle fait appel à votre courage, c’est « Plutôt mourir debout que de vivre à genoux ». Ayons le courage d’avoir une vie décente. N’est-il pas juste et équitable de réclamer comme droit fondamental l’accès à la santé, à la nourriture et à un toit, vous vous dite certainement que la santé oui, mais vous avez des doutes pour la nourriture et le toit ? Je pose la question autrement, que voulais-vous pour vos enfants et vos parents ? Je divague reprenons la métaphore du sol…

Quoi que plus tard j’en es assez dit pour aujourd’hui…

Récit d’un dépressif 3 – La rivière et le néant

13 septembre 2017

La vie est pour moi une rivière, une rivière d’émotions, ces émotions sont ci profonde, ci tumultueuse et surtout vertigineuse qu’elles ont emporté des fragments de mon âme pour faire place à la noirceur au désespoir, à l’anxiété, aux stress et aux angoisses… Que faire quand l’horizon des événement disparaît, que faire quand on ne peux plus se projeter… C’est une rivière donnant sur le néant. Ce néant étant un amer constat d’échec.. Ce monde, … Continuer la lecture de « Récit d’un dépressif 3 – La rivière et le néant »

La vie est pour moi une rivière, une rivière d’émotions, ces émotions sont ci profonde, ci tumultueuse et surtout vertigineuse qu’elles ont emporté des fragments de mon âme pour faire place à la noirceur au désespoir, à l’anxiété, aux stress et aux angoisses…

Que faire quand l’horizon des événement disparaît, que faire quand on ne peux plus se projeter… C’est une rivière donnant sur le néant. Ce néant étant un amer constat d’échec.. Ce monde, cette rivière est le vestige d’une vie passé, une vie d’échec et de regrets. Ces émotions qui ont étaient ci forte qu’elles en on fait tomber mes murs intérieur, voyez-les comme une digue, un rempart, une protection contre les émotions les plus fortes, celle qui vous emportes et vous jette dans le vide, ni vivant ni mort, un état entre deux…

Ce vide est mon plus grand cauchemar, une chute qui n’en fini pas, c’est mourir tout en restant vivant, savoir que ta dernière sensation sera celle du sol et de ton corps qui s’écrasera dessus, une froideur sans égal, un point final. Avez-vous déjà fait un de ces rêves qui met en scène votre plus grande peur, un rêve, mais surtout un avertissement, l’ultime avertissement, celui qui vous dis comment vous allez mourir, comment vivre tout en sachant comment la mort pourrais vous rattrapés, c’est à la fois la l’outil salvation, à la fois un amer constat d’échec, comment faire le deuil d’une vie pour en recommencer une autre, comment accepter son passer pour préservé les dernières graines de son avenir, faut-il jeter ces graines à la poubelle et refaire de nouvelle fondation, comment s’extraire d’une chute sans garde fou, comment reconstruire une vie de zero, je suis l’artisan de ma propre chute, le décor est tombé, maintenant je dois en construire un nouveau, mais comment, comment ce guider dans la nuit avec un ciel sans étoile, comment ce nourrir de la vie, si cette rivière n’est plus, comment peindre la toile de sa vie sans couleurs…  a vrai dire je ne sais pas…

J’ai besoin d’inspiration, de modèles, de couleurs, de voir, d’entendre et surtout d’expérimenté pour réalisé ma réalité, comme tout le monde j’ai des rêves, des ambitions…

Récit d’un dépressif 2 – La perception de la société

6 septembre 2017

Certain se demande à mon sujet, pourquoi je ne fais rien de significatif pour me sortir de la situation dans là quelle je suis, il y a une multitude de raisons à cela, la première, la plus importante et omniprésente, c’est que la réalité occidentale, la norme dans sa forme massive et omniprésente, tel que le « citoyen », « l’employer », « la famille », « le père », « la mère », « le téléspectateur », « l’électeur », tant de mots pour décrire l’humain contemporain qui … Continuer la lecture de « Récit d’un dépressif 2 – La perception de la société »

Certain se demande à mon sujet, pourquoi je ne fais rien de significatif pour me sortir de la situation dans là quelle je suis, il y a une multitude de raisons à cela, la première, la plus importante et omniprésente, c’est que la réalité occidentale, la norme dans sa forme massive et omniprésente, tel que le « citoyen », « l’employer », « la famille », « le père », « la mère », « le téléspectateur », « l’électeur », tant de mots pour décrire l’humain contemporain qui me répugne d’une force inimaginable…

Pour moi ces mots, ont été créer, utiliser et détourner de leurs contextes, de leurs sens originels, c’est « normal » qu’un mot change, tout change, alors pourquoi sont-ils devenus le marteau et nos esprits le marbre, si vous pensiez que la propagande, la manipulation de masse et l’ingénierie sociale n’existent quand temps de guerre ou dans les dictatures j’ai le regret de vous annoncer qu’a mon avis elles sont dans notre monde omniprésent à toutes les échelles…

Ces mêmes mots sont devenus les mots outils de la pensée unique, des mots répétés tant de fois qu’ils en sont devenus une « vérité universelle » sans même à en avoir besoin de la nommé et ne la nommer surtout pas, ou l’on vous traitera directement de « complotiste », « d’extrémiste » ou tout autre terme servant à vous exclure, d’ailleurs ils s’empresseront de vous mettre sur la touche de toutes les manières possibles quitte à eux aussi aller dans les extrêmes pour préserver leur monde de penser, remettre leurs concepts, leur monde en question leur fait une peur bleue… Il est parfois tout aussi « intéressant » de s’attarder sur les motivations de celui qui pointe du doigt autant que sur celui pointé du doigt.

Ils sont légitimiser ces concepts, ces mots sans même que le citoyen lambda le remarque… Ils en ont forcé l’utilisation de par les médias, l’éducation et de l’entreprise, si fortement qu’ils en sont devenus un simulacre de réalité, une « norme ». Si l’on vous enseigne, le même discourt depuis votre venu au monde, une même manière de penser, une même manière de percevoir le monde comment faire pour sortir d’une prison qui recouvre tous vos horizons, une prison mentale… Chercher des couleurs dans un océan de nuance noire et blanche… En fait les barreaux de cette prison pourraient être des lunettes, ces lunettes sont si fermement accrochées à votre tête que vous penser qu’elles sont votre corps, ces lunettes changent la manière de percevoir les couleurs, mais ça vous ne le savez pas, l’on vous a toujours dit que c’était comme ça la réalité, ces lunettes ne sont pas composer directement de matière, mais d’idées, vous voyez où je veux en venir ? L’un des exemples dès plus courant dans notre société occidentale, c’est le choc des cultures et en première ligne le racisme, le fait de ne pas comprendre une idéologie différente et donc de l’exclure…

Comment ajouter et retirer des idées solides ou les solidifier ? C’est un autre sujet, disons sensible qui aura certainement droit à un article, mais sa place n’étant pas ici… La suite

Par exemple prenons des sujets sensibles, mais très témoignant, ici des exemples extrêmes, les OVNI, comment savoir s’il s’agit de réalité, le sujet étant hyper sensible il est difficile de s’avancer sans y être initier. Ici il s’agit de mettre des mots sur des concepts sur l’inconnu… Cela vous semble irréel ou impossible ? Autre question, autre exemple, les sorties du corps mythe ou réalité, la géo-ingénierie même question… Comment aborder des sujets aussi sensibles, à vrai dire je ne sais pas, on ne me la pas appris, comme la plupart des médias, il est fort à parier que vos proches et vous aussi avez fait le choix d’occulter ces questions… D’autres exemples ceux-ci plus actuel, le remplacement de l’homme par la machine, l’IA, la séparation des médias et de l’état, le salaire inconditionnel, encore des sujets quasiment absents. Je pense, je me trompe peut-être, mais ces sujets sont des chemins de traverse passant aux beaux milieux d’un chemin de fer qu’est la vie routinière du citoyen normalisé, étatique et médiatique.

Comment ne pas se faire écraser par le rouleau compresseur qu’est la vie actuelle, comment faire le tri entre l’information et la désinformation, je pense que nous sommes victime de la marchandisation de l’information, de la politique et du divertissement, une sorte de prise en otage de l’humain, de sa naïveté entre autres, a vrai-dire je ne sais pas, je ne sais plus à qui faire confiance, il y a ceux qui désinforme et manipule pour le pouvoir et ceux qui désinforme pour les vues est l’argent qu’ils en retirent, comment construire des bases solides si notre environnement est mystifier et fallacieux, ce que je veux dire par là, c’est que très peux de personne et moi d’ailleurs, savent comment marche notre société occidentale, je vous avouerais j’ai essayer pendant un temps de la comprendre, mais c’est tellement équerrant, désespérant, que ça me retourne l’âme, de voir à quel point notre système est pourri… Qui saurais me décrire l’économie, la justice, le système éducatif et la politique actuelle avec exactitude, encore plus rare qui s’aurais les mètres en perceptive l’histoire… Pas grand monde, je pense, bien sûr il y en a, mais ils sont encore trop rares. On nous demande seulement de se contenter du vote comme pouvoir politique, comme moyen « d’expression » et encore ce n’est que la face non immergée de l’iceberg, je ne préfère même pas l’imaginer dans son entièreté… Ce monde me dégoutte j’en peux plus, je ne veux pas participer à cette mascarade, je le refuse, pour moi c’est être complice d’une tromperie. C’est sujet beaucoup trop complexe et complexifier je suis dans le brouillard j’ai du mal en m’orienté dans cette sur abondasse d’information. Pour moi c’est comme essayé de maintenir une maison en ruine, personnellement je préfère en construire une nouvelle…

Un monde de toute beauté au premier coup d’œil, mais plus on s’approche plus sa noirceur en devient prenante et envahissante, comment faire pour retrouver de l’originalité, de l’atypisme et de la diversité… Voilà ma quête.

Récit d’un dépressif 1 – La perception de la vie

31 août 2017

Petit préambule, ceci ne sont que des souvenirs, des idées et des concepts, une partie des frames de mon esprit, des morceaux de matière, un patchwork… Il n’est en aucun cas une vérité universelle, c’est ma vérité, ma réalité… La vie a pour moi perdu une grande partie sa saveur, je suis une fenêtre embuée, une peinture sans couleur, une étoile qui se meurt peu à peu, un fruit qui tourne de l’intérieur, enfin je … Continuer la lecture de « Récit d’un dépressif 1 – La perception de la vie »

Petit préambule, ceci ne sont que des souvenirs, des idées et des concepts, une partie des frames de mon esprit, des morceaux de matière, un patchwork… Il n’est en aucun cas une vérité universelle, c’est ma vérité, ma réalité…

La vie a pour moi perdu une grande partie sa saveur, je suis une fenêtre embuée, une peinture sans couleur, une étoile qui se meurt peu à peu, un fruit qui tourne de l’intérieur, enfin je l’étais je commence à reprendre goût à la vie petit à petit. Ici je vais décrire quand comment et pourquoi ? Ça fera l’objet de plusieurs autres articles, le premier (celui-ci) étant une introduction.

Mon état actuel : Pour l’instant je me cantonne dans des plaines brumeuses errant à la recherche de réponse, je suis descendu dans les tréfonds de mon esprit, dans des abîmes bien trop sombre, ne sentant plus que la chute, à en perdre les notions de la réalité, la trame du temps, l’envie et la volonté… Je suis à ma manière un apnéiste, mon terrain n’étant pas l’eau, mais l’esprit. À ma modeste échelle bien sûr.

Maintenant imagine une chute, imagine le vide pour seul compagnon, imagine une forme l’enferment ce sont les frontières du connu et l’horizon de la perception, mais dans le noir, dans la chute, elles sont inatteignables c’est faire l’expérience d’une chute qui n’en finit pas, à en perdre la raison avec pour seul paysage une obscurité omniprésente qui s’étant au-delà de l’esprit, ici je parle du corps en entier, c’est être enfermé et esclave du monde, comment voir l’extérieur si depuis l’intérieur vous n’arriver pas à atteindre les limites de votre esprit, un genre de TruMan Show, comment reposer, atteindre et repousser ces limites ? Comment découvrir d’autres contrées, comment accepté sa réalité en acceptant que notre, mon esprit est peut être esclave et malade, reconnaître ses démons pour mieux les comprendre, pour moi ça était l’isolement, des problèmes familiaux, de sociabilité et professionnel… L’impression qu’un décor de théâtre tombe.

À la recherche du firmament de l’esprit : La première étape pour moi a été une question existentielle, la source « Qui suis-je » pour avoir un début et une fin en même temps, une boucle d’infinité une matière en constante évolution, être le créateur et la créature… Je pense que l’on ne peut rester identique dans un monde qui se renouvelle sans cesse, ce serait une folie, accepté la mort pour en apprécier la vie. Voilà pour moi un moyen de ne plus me perdre en chemin, l’important n’étant pas seulement le départ ou l’arrivée, mais le chemin parcouru. Maintenant il me manque la compréhension de la matière, comprendre le fonctionnement de la machine pour en changer le fonctionnement, ne plus imaginer le temps comme des chaînes, mais comme un outil, faire de chaque instant une réalité d’être, vous connaissiez surement cette question, être ou ne pas être ? Pour être l’auteur de sa destinée, écrire au fil de sa vie sa propre destinée pour ne plus être esclave.


L’altération de l’esprit : Les souvenirs à l’inverse des données informatiques, sont vivant ils se transforment et se déforment au fil du temps, qu’on le veille ou non, ce temps que j’ai perdu et que je perds encore, j’ai perdu sa trame, je me suis libéré du temps, volontairement ? Un peu, involontairement aussi. Il est indispensable à la vie, mais il est aussi les chaînes de la mortalité, la mort, l’inexistence à l’infini paradoxal non ? Atteindre l’immortalité en se libérant du temps… Oui je parle d’une chance, d’un talent propre aux dépressifs, voir le fil de la vie et de mort, voir un précipice, flirté avec les nuances les plus sombres de la vie. C’est tombé dans des abîmes si profondes, une chute si grande que la raison laisse sa place à un raz de marée d’émotion, pour ma part ça a était via la mélancolie, imaginé cette allégorie du temps, imaginé tous le sable de notre terre contenu dans un sablier, il y a tant de grain, il faudra tant de temps, que ça perception en devient altéré, c’est comme l’histoire du verre d’eau, est-il à moitié plein à moitié vide ou autre chose…


Qui suis-je : J’aime à me décrire actuellement (à l’écriture de cet article) comme une ombre dans la lumière indéniablement plus proche de l’ombre, mais aussi indéniablement à la recherche de lumière, cette lumière, l’exceptionnelle, l’unique lumière, celle que peu possède, j’ai eu la chance de la voir, de l’entendre et de la percevoir juste le temps d’un instant, un claquement de doigt dans une vie mais aussi suffisamment longtemps pour être sur de son existence, j’imagine la vie à cet instant à cette image comme un escalier infini mêlé et entre-mêlé, j’ai eu la chance le temps d’un instant dans une vie de le contemplé, c’était bref mais d’une intensité sans égal, grâce à une main tendue, depuis là-haut, une invitation au voyage, à l’exploration ou une invitation à mettre du courant, de la vie, de l’intensité dans des eaux beaucoup trop calme et plates.


Les questions : Bien sûr j’ai connu les couleurs, peut-on naître dépressif ? Je ne sais pas, mais ce n’était pas mon cas, comment faire des choix quand il n’y plus de nuance ? Comment être sûr d’être sur un chemin adéquate ? Comment utiliser le temps comme un outil plutôt que comme une contrainte ? Comment réinventer le monde ?

En fin de compte, faire face à la réalité c’est peut-être aussi dire adieu à un autre monde idéalisé…

Édito du 25-05-2017 – Quatre ans après

26 mai 2017

Salut à toi, si tu vois ce message c’est probablement que l’on se connait de près ou de loin, sinon tu es plus que bienvenue que l’on se connaisse ou pas, ici tu entres dans un monde qui espère être sans limites, qui défie le temps l’espace et la réalité, lieu d’une future impermanence, des rêves et de la folie, du début et la fin en même temps. Bienvenue dans l’antre labyrinthique qu’est mon esprit… Voilà le 2e édito … Continuer la lecture de « Édito du 25-05-2017 – Quatre ans après »

Salut à toi, si tu vois ce message c’est probablement que l’on se connait de près ou de loin, sinon tu es plus que bienvenue que l’on se connaisse ou pas, ici tu entres dans un monde qui espère être sans limites, qui défie le temps l’espace et la réalité, lieu d’une future impermanence, des rêves et de la folie, du début et la fin en même temps. Bienvenue dans l’antre labyrinthique qu’est mon esprit…

Voilà le 2e édito s’il en est un, plus de quatre ans après le premier, après la découverte d’une source sans pareil, source de vérité et de volonté presque infinie et sans égal, changeante, vivante, pour se retrouver puis se perdre en chemin… se perdre dans la solitude, dans l’isolement, devenir prisonnier d’une prison sans nom, sans visage, prisonnier des chaînes de la réalité, n’être que l’ombre de soi-même, être un ermite des temps modernes.

J’ai conquis l’infini un temps, découvert des étendus à nulle autre pareille puis dans mon enfermement, l’une de mes plus grandes peur est devenue réalité, un conflit qui m’était impossible à éviter, une peurs construite et grandissante au fur et à mesure des années est apparut, alors j’ai été projeté dans un précipice sans fond, alors que je m’enfonçais encore plus dans une chute sans fin, s’y profonde, s’y sombre, s’y angoissante, sans guide, je suis devenu une ombre dans la lumière commune à tous et unique à moi même. Le temps à commencer à me dépasser à mesure que je chutais je créais ma réalité, un monde parallèle au notre, un monde qui cherche des réponses autant que des questions où ma boussole psychique est complètement déréglé où elle m’indique toutes les directions imaginables et en même temps aucune, aujourd’hui le temps passe et me dépasse, aujourd’hui je suis perdu dans des plaines interminables et brumeuses sans âme, un endroit où les sens sont inutiles.