Récit d’un Dépressif 4 – Le sol

29 septembre 2017

Salut, aujourd’hui on va abordé deux thèmes, l’un faisant le lien avec l’article précédant l’autre est un fragments pour les prochains. Dans l’article précédant je parlais du néant et de la chute, la chute, ça a était la perte de mes repères, c’est comme un sol qui se dérobe sous vos pieds, ce sol c’est les fondations de votre vie, vos souvenirs, votre futur, votre présent, il y a le sol juste sous vos pieds, … Continuer la lecture de « Récit d’un Dépressif 4 – Le sol »

Salut, aujourd’hui on va abordé deux thèmes, l’un faisant le lien avec l’article précédant l’autre est un fragments pour les prochains.

Dans l’article précédant je parlais du néant et de la chute, la chute, ça a était la perte de mes repères, c’est comme un sol qui se dérobe sous vos pieds, ce sol c’est les fondations de votre vie, vos souvenirs, votre futur, votre présent, il y a le sol juste sous vos pieds, pour moi c’était la famille, le contact direct de tous les jours, quasiment présent à chaque instant, ça ça n’a pas trop changé malheureusement, il est toujours la proche de la surface palpable, mais il recule petit à petit, l’ancien sol à disparu, il a fait place a des sables mouvants, dont il faut réussir à s’extraire pour avancé, ne vous inquiétez pas ils ne sont pas mortel, enfin s-il le sont, mais pas définitivement, je pense que la mort telle que nous la connaissons n’existe pas, je ne pense pas que ce soit un point final, enfin c’est complexe je l’aborderais dans un article spécial, mais pas ici, restons dans le vivant tant que nous le pouvons, c’est bien mieux je vous l’assure…

La métaphore du sol c’est une métaphore peu claire changeons en, prenons à la place la sangsue, imaginé s’en une qui ne pompe pas le sang, mais les bonnes émotions, imagine que ton âme ne puisse plus ce nourrir de vie, c’est le sang qui se glace, la boule au ventre en permanence, la faim qui disparaît, c’est difficile de l’imaginer si on le vie pas, difficile d’y mettre des mots dessus, comme je l’ai déjà dit c’est mourir en restant vivant.

Reprenons la métaphore du sol, légèrement sous le sol il y a (pour moi) le travail, enfin dans mon cas c’était une motivation financière, aucun travail personnel, aucune avancée, juste une source d’argent… Certain arrive à vivre seulement d’un travail, en fait la plupart des gens ne vivent pas avec ils sous-vive avec, j’ai vécu ça, j’ai côtoyer des personnes qui à plus de 40 ans ne supportais plus leur activité, leur emploi, mais ils continuent, en fait sans s’en rendre compte ils deviennent ce qu’il déteste le plus, il a une expression particulière juste, mais aussi extrême, extrême dans le fait qu’elle fait appel à votre courage, c’est « Plutôt mourir debout que de vivre à genoux ». Ayons le courage d’avoir une vie décente. N’est-il pas juste et équitable de réclamer comme droit fondamental l’accès à la santé, à la nourriture et à un toit, vous vous dite certainement que la santé oui, mais vous avez des doutes pour la nourriture et le toit ? Je pose la question autrement, que voulais-vous pour vos enfants et vos parents ? Je divague reprenons la métaphore du sol…

Quoi que plus tard j’en es assez dit pour aujourd’hui…

Récit d’un dépressif 3 – La rivière et le néant

13 septembre 2017

La vie est pour moi une rivière, une rivière d’émotions, ces émotions sont ci profonde, ci tumultueuse et surtout vertigineuse qu’elles ont emporté des fragments de mon âme pour faire place à la noirceur au désespoir, à l’anxiété, aux stress et aux angoisses… Que faire quand l’horizon des événement disparaît, que faire quand on ne peux plus se projeter… C’est une rivière donnant sur le néant. Ce néant étant un amer constat d’échec.. Ce monde, … Continuer la lecture de « Récit d’un dépressif 3 – La rivière et le néant »

La vie est pour moi une rivière, une rivière d’émotions, ces émotions sont ci profonde, ci tumultueuse et surtout vertigineuse qu’elles ont emporté des fragments de mon âme pour faire place à la noirceur au désespoir, à l’anxiété, aux stress et aux angoisses…

Que faire quand l’horizon des événement disparaît, que faire quand on ne peux plus se projeter… C’est une rivière donnant sur le néant. Ce néant étant un amer constat d’échec.. Ce monde, cette rivière est le vestige d’une vie passé, une vie d’échec et de regrets. Ces émotions qui ont étaient ci forte qu’elles en on fait tomber mes murs intérieur, voyez-les comme une digue, un rempart, une protection contre les émotions les plus fortes, celle qui vous emportes et vous jette dans le vide, ni vivant ni mort, un état entre deux…

Ce vide est mon plus grand cauchemar, une chute qui n’en fini pas, c’est mourir tout en restant vivant, savoir que ta dernière sensation sera celle du sol et de ton corps qui s’écrasera dessus, une froideur sans égal, un point final. Avez-vous déjà fait un de ces rêves qui met en scène votre plus grande peur, un rêve, mais surtout un avertissement, l’ultime avertissement, celui qui vous dis comment vous allez mourir, comment vivre tout en sachant comment la mort pourrais vous rattrapés, c’est à la fois la l’outil salvation, à la fois un amer constat d’échec, comment faire le deuil d’une vie pour en recommencer une autre, comment accepter son passer pour préservé les dernières graines de son avenir, faut-il jeter ces graines à la poubelle et refaire de nouvelle fondation, comment s’extraire d’une chute sans garde fou, comment reconstruire une vie de zero, je suis l’artisan de ma propre chute, le décor est tombé, maintenant je dois en construire un nouveau, mais comment, comment ce guider dans la nuit avec un ciel sans étoile, comment ce nourrir de la vie, si cette rivière n’est plus, comment peindre la toile de sa vie sans couleurs…  a vrai dire je ne sais pas…

J’ai besoin d’inspiration, de modèles, de couleurs, de voir, d’entendre et surtout d’expérimenté pour réalisé ma réalité, comme tout le monde j’ai des rêves, des ambitions…

Récit d’un dépressif 2 – La perception de la société

6 septembre 2017

Certain se demande à mon sujet, pourquoi je ne fais rien de significatif pour me sortir de la situation dans là quelle je suis, il y a une multitude de raisons à cela, la première, la plus importante et omniprésente, c’est que la réalité occidentale, la norme dans sa forme massive et omniprésente, tel que le « citoyen », « l’employer », « la famille », « le père », « la mère », « le téléspectateur », « l’électeur », tant de mots pour décrire l’humain contemporain qui … Continuer la lecture de « Récit d’un dépressif 2 – La perception de la société »

Certain se demande à mon sujet, pourquoi je ne fais rien de significatif pour me sortir de la situation dans là quelle je suis, il y a une multitude de raisons à cela, la première, la plus importante et omniprésente, c’est que la réalité occidentale, la norme dans sa forme massive et omniprésente, tel que le « citoyen », « l’employer », « la famille », « le père », « la mère », « le téléspectateur », « l’électeur », tant de mots pour décrire l’humain contemporain qui me répugne d’une force inimaginable…

Pour moi ces mots, ont été créer, utiliser et détourner de leurs contextes, de leurs sens originels, c’est « normal » qu’un mot change, tout change, alors pourquoi sont-ils devenus le marteau et nos esprits le marbre, si vous pensiez que la propagande, la manipulation de masse et l’ingénierie sociale n’existent quand temps de guerre ou dans les dictatures j’ai le regret de vous annoncer qu’a mon avis elles sont dans notre monde omniprésent à toutes les échelles…

Ces mêmes mots sont devenus les mots outils de la pensée unique, des mots répétés tant de fois qu’ils en sont devenus une « vérité universelle » sans même à en avoir besoin de la nommé et ne la nommer surtout pas, ou l’on vous traitera directement de « complotiste », « d’extrémiste » ou tout autre terme servant à vous exclure, d’ailleurs ils s’empresseront de vous mettre sur la touche de toutes les manières possibles quitte à eux aussi aller dans les extrêmes pour préserver leur monde de penser, remettre leurs concepts, leur monde en question leur fait une peur bleue… Il est parfois tout aussi « intéressant » de s’attarder sur les motivations de celui qui pointe du doigt autant que sur celui pointé du doigt.

Ils sont légitimiser ces concepts, ces mots sans même que le citoyen lambda le remarque… Ils en ont forcé l’utilisation de par les médias, l’éducation et de l’entreprise, si fortement qu’ils en sont devenus un simulacre de réalité, une « norme ». Si l’on vous enseigne, le même discourt depuis votre venu au monde, une même manière de penser, une même manière de percevoir le monde comment faire pour sortir d’une prison qui recouvre tous vos horizons, une prison mentale… Chercher des couleurs dans un océan de nuance noire et blanche… En fait les barreaux de cette prison pourraient être des lunettes, ces lunettes sont si fermement accrochées à votre tête que vous penser qu’elles sont votre corps, ces lunettes changent la manière de percevoir les couleurs, mais ça vous ne le savez pas, l’on vous a toujours dit que c’était comme ça la réalité, ces lunettes ne sont pas composer directement de matière, mais d’idées, vous voyez où je veux en venir ? L’un des exemples dès plus courant dans notre société occidentale, c’est le choc des cultures et en première ligne le racisme, le fait de ne pas comprendre une idéologie différente et donc de l’exclure…

Comment ajouter et retirer des idées solides ou les solidifier ? C’est un autre sujet, disons sensible qui aura certainement droit à un article, mais sa place n’étant pas ici… La suite

Par exemple prenons des sujets sensibles, mais très témoignant, ici des exemples extrêmes, les OVNI, comment savoir s’il s’agit de réalité, le sujet étant hyper sensible il est difficile de s’avancer sans y être initier. Ici il s’agit de mettre des mots sur des concepts sur l’inconnu… Cela vous semble irréel ou impossible ? Autre question, autre exemple, les sorties du corps mythe ou réalité, la géo-ingénierie même question… Comment aborder des sujets aussi sensibles, à vrai dire je ne sais pas, on ne me la pas appris, comme la plupart des médias, il est fort à parier que vos proches et vous aussi avez fait le choix d’occulter ces questions… D’autres exemples ceux-ci plus actuel, le remplacement de l’homme par la machine, l’IA, la séparation des médias et de l’état, le salaire inconditionnel, encore des sujets quasiment absents. Je pense, je me trompe peut-être, mais ces sujets sont des chemins de traverse passant aux beaux milieux d’un chemin de fer qu’est la vie routinière du citoyen normalisé, étatique et médiatique.

Comment ne pas se faire écraser par le rouleau compresseur qu’est la vie actuelle, comment faire le tri entre l’information et la désinformation, je pense que nous sommes victime de la marchandisation de l’information, de la politique et du divertissement, une sorte de prise en otage de l’humain, de sa naïveté entre autres, a vrai-dire je ne sais pas, je ne sais plus à qui faire confiance, il y a ceux qui désinforme et manipule pour le pouvoir et ceux qui désinforme pour les vues est l’argent qu’ils en retirent, comment construire des bases solides si notre environnement est mystifier et fallacieux, ce que je veux dire par là, c’est que très peux de personne et moi d’ailleurs, savent comment marche notre société occidentale, je vous avouerais j’ai essayer pendant un temps de la comprendre, mais c’est tellement équerrant, désespérant, que ça me retourne l’âme, de voir à quel point notre système est pourri… Qui saurais me décrire l’économie, la justice, le système éducatif et la politique actuelle avec exactitude, encore plus rare qui s’aurais les mètres en perceptive l’histoire… Pas grand monde, je pense, bien sûr il y en a, mais ils sont encore trop rares. On nous demande seulement de se contenter du vote comme pouvoir politique, comme moyen « d’expression » et encore ce n’est que la face non immergée de l’iceberg, je ne préfère même pas l’imaginer dans son entièreté… Ce monde me dégoutte j’en peux plus, je ne veux pas participer à cette mascarade, je le refuse, pour moi c’est être complice d’une tromperie. C’est sujet beaucoup trop complexe et complexifier je suis dans le brouillard j’ai du mal en m’orienté dans cette sur abondasse d’information. Pour moi c’est comme essayé de maintenir une maison en ruine, personnellement je préfère en construire une nouvelle…

Un monde de toute beauté au premier coup d’œil, mais plus on s’approche plus sa noirceur en devient prenante et envahissante, comment faire pour retrouver de l’originalité, de l’atypisme et de la diversité… Voilà ma quête.