L’étreinte de vie entre attachement et désespoir

20 mars 2018

Mon âme est en proie à des tempêtes, elles ravagent mes terres, cries comme un tonnerre conscientisé dans le ciel de larmes et saignes dans les mers, elles sont la manifestation d’une alchimie en manque d’alchimie et d’alchimiste, de liens perdu et brisés, comme si l’ancre du monde avait céder, ces tempêtes elles sont là, la marque d’un changement aussi inévitable que destructeur et ravageur, elles sont ici, mais aussi dedans, si forte qu’elles arrive … Continuer la lecture de « L’étreinte de vie entre attachement et désespoir »

Mon âme est en proie à des tempêtes, elles ravagent mes terres, cries comme un tonnerre conscientisé dans le ciel de larmes et saignes dans les mers, elles sont la manifestation d’une alchimie en manque d’alchimie et d’alchimiste, de liens perdu et brisés, comme si l’ancre du monde avait céder, ces tempêtes elles sont là, la marque d’un changement aussi inévitable que destructeur et ravageur, elles sont ici, mais aussi dedans, si forte qu’elles arrive jusqu’à briser mes remparts, sortant au dehors… Elles sont si forte qu’elles brise tout, je les étouffes, menaçant le vivant et en même temps le tuant petit à petit, malgré ça elle m’offre le pouvoir de l’instant présent déchiquetant et sortant de la trame du temps, cette tempête n’a pas de couleurs, elle rend la lumière terne et sans saveur en temps normal, quant elle est loin des rivages, puis elle finit toujours pas arriver jusqu’à mes terres et elle se déchaîne, arrachant, déchiquetant les peux qu’il y a… Même le sable, l’eau, la terre, l’air sont sans dessus dessous, mes anciennes terres sombres au fond des flots… C’est un paysage de désolation ne laissant aucune chance à ce qui ce trouve dedans malgré ça… À l’instar du déchaînement des océans plus profond dans les terre, dans des terres rouges comme le fer chaud, où brûle un feu sommeillant, atteignant les cieux et brûlant comme une jeune étoile, c’est une rage, pas de vivre, mais d’une facette de la vie, un immense brasier alimenter par la haine d’un monde qui se meurt, c’est aimer sans vouloir laisser mourir, mais c’est aussi les chaînes de l’impuissance du commun des mortels, mon âme ne respire plus que d’un brasier qui grandi de jour en jour, principalement alimenté par ceux qui pense pouvoir penser et agir à notre place, alimenter par l’injustice, par les peurs des autres et par la haine des entraves que certain impose et tente d’imposer  à moi et à d’autres, elle est d’une façon la flamme de la liberté, mais aussi le brasier qui consume le calme et la sérénité intérieure. Un appel à réagir, un appel à sortir en dehors et à crier de toutes ses forces, à expulser son âme haut dehors pour dire… Tellement de choses…

Sans le vouloir, sans le savoir, ils forgent une volonté, une rage… D’où vient-elle ?